2011
RemontageS
Enfin on approche du but !
Tout n’est pas joué cependant … avec l’inexpérience, l’étourderie et le manque de bol qui me caractérisent
Je vais bien tomber sur 2 ou 3 embrouilles qui vont me retarder.
On y va !
Réfection du faisceau électrique du coffre :
de-wrapping / nettoyage (Tiens donc … Du sable !?!) / analyse / re-wrapping neuf / re-gainage
Finalement, je ne rachète pas : il est en très bon état.
Quand j’vous disais que je voyageais beaucoup sans sortir de chez moi J J
Retrait de la 6ème lame au serre-joint.
Les anciennes licences lens étaient devenues totalement opaques !
Comme ça la maréchaussée notera mieux ma plaque de nuit J
Remise en état de toute la quincaillerie. Enfin celle qui peut l’être : les grosses pièces métalliques.
Enfin de la couleur ! …
Et Décapage des anciennes visseries sorties de leur sac congélation après 4 ans !
(NON ! je ne les ai pas gardées au congélateur !)
Sablage, Acide … leur état ne s’avère finalement pas au top :
Pas-de-vis amochés = écrous qui accrochent = une commande aux states !
En attendant la commande, plaisir de remonter … plaisir ? … pas tant que ça !
Accès difficile … tout est permis !
Ce que ça pète sur fond noir … dommage que cela ne se voit pas … après J
Ben voilà quand on s’y prend comme un manche … impossible, même avec les serre-joints !
Et Malgré l’usage immodéré de cette infâme graisse collante J
Quelque chose coince. Oui, mais quoi !
On ne va quand même pas se laisser faire par une saloperie de visserie !
Aux Grands Maux … les Grands Serre-joints à la rescousse (des petits) !
Un sonore « Tchonk » a marqué la fin du problème : tout est en place !
Discretos … un p’tit coup de joint transparent salle de bains car l’étanchéité des gaskets, même neufs,
est absolument catastrophique. Je comprends pourquoi la rouille avait perforé le coffre sous les optiques !
Un p’tit passage par « Le Garage » (merci so much) pour virer les bushings caoutchouc neufs.
… Et installer les nouveaux « qui pètent la couleur » ! :
Y a plus Ka
Après un p’tit traitement à la cire antirouille (entre les lames), installation par l’avant :
Mise en place du pont (perdu les photos)
Installation des demi-durites de freins (pas de photo non plus)
Puis mise en place des câbles de freins « à main » neufs et de tout le fourbi neuf sur les backing plates :
Puis remise en place des butées de pont, des échappements (anciens & rouillés J), de la barre antiroulis,
suivi de l’installation de ces beaux Koni rouges qui attendent depuis … 4 ans déjà !
Et voili-voilou :
Et L’homme Inventa … LA ROUE : Whaaaooouuuuuuuu !
Elle bougea même de quelques centimètres ce jour-là. Juste pour le plaisir J
Et bien sûr l’étape finale : le réservoir !
Vous souvient-il de cette photo ? … 5 ans auparavant ? :
J’ai condamné les 3 sorties (que je juge inutiles) de l’EECS.
Esthétiquement, c’est pas glop, mais vous savez que l’apparence n’est pas (encore) ma priorité.
En plus, j’ai failli oublier la (si discrète) mise à la masse du réservoir (Ah le c.. ! J) :
Finalement, après remontage, il s’avère que le neck n’est pas centré, donc mon bouchon de
réservoir fermant à clé made-in-4L modifié appuie trop sur la tôle > Allez zou démontage,
et par la même occasion, les infâmes bandes de carton qu’ils osent appeler « Anti-squeak Set » sont
remplacées par deux languettes de vrai caoutchouc (les restes de mon fond de coffre).
Une autre petite cale en caoutchouc 6 mm d’épaisseur près du neck, entre tank et fond de coffre
… remontage final.
Je vous épargne les photos de la révision pré-lancement :
Vidange radiateur & moteur & purge complète du liquide de freins & recharge batterie …
Une giclée de WD40 dans chaque cylindre, un p’tit coup aussi dans le distributeur (Aïe) …
Quelques coups de démarreur coil débranché, histoire de débloquer tout ça en douceur…
L’instant suivant, tant attendu :
On The Road Again !